Dans les temps anciens, beaucoup de femmes passaient de longues heures à tricoter des vêtements. Cet art qui consiste à enmêler la laine à l’aide de deux crochets, se transmettait toujours de mère en fille. Le fait de perpétuer ce savoir faire a été bénéfique pour la terre entière, étant donné que jusqu’à nos jours, ces vêtements sont les privilégiés pour le grand froid d’hiver. Certains hommes se sont lancés à cet apprentissage, et pour certaines entreprises texctiles, les systèmes sont déjà tous instrumentalisés. Cet art a étonnamment des vertus thérapeutiques, que nous énumèrerons pour vous dans la suite de cet article.
Le pouvoir thérapeutique du tricot
On n’imagine pas vraiment ce coté thérapeutique dans le fait de tricoter des vêtements. Et pourtant, il existe réellement des vertus très subtiles.
Le tricot a l’art d’améliorer l’humeur et le mental de ceux qui le pratique. Lorsque vous le pratiquez seul(e), vous entrez sans le savoir dans une phase d’introspection qui vous fait refléchir et méditer sur vos pensées les plus profondes, tout en profitant du moment présent et de l’ambiance de l’entourage. Le cerveau libère donc des endorphines qui vous détendent et génèrent en vous une sensation de bien être. Tricoter developpe des activités motrices, stimule la concentration et la créativité. Le tricot signifie pénétrer dans un univers de sensations : la texture, la douleur, l’odeur, la douceur et la tiédeur de la laine exercent une influence positive sur notre esprit. C’est pour cela qu’il est possible de surmonter des pertes et de résoudre des problèmes pendant cette activité.